Bonjour à tous,
Comme chaque semaine, retrouvez une sélection du meilleur de l’actualité Capital Market, Asset Management, Digital, Management et Réglementation bancaire.
Si vous aimez le Pick of the week, n’hésitez pas à le partager… et à lancer la discussion en commentaire 🙂
Merci pour votre lecture !
Vincent
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Capital Market
- Les embauches de trader en panne malgré la hausse des marchés (prudence des banques face à un marché volatil mais aussi remplacement inévitable par les algorithmes et les plateformes électroniques)
- Quand les traders sont remplacés par des robots (de 600 traders action en 2000 à 2 traders maintenant soutenus par 200 informaticiens. La disruption des banques par les robots est déjà là et ne fera que s’accélérer)
- Crédit Suisse supprimera au moins 5500 postes de plus en 2017 (la réduction de la voilure sur les activités de marché se poursuit après des résultats très mitigés. Mais est-ce que le recentrage sur la banque privée est la bonne stratégie ?)
- Final 2016 FCM ranking (les chiffres définitifs des clearers listés et OTC montrent clairement que la polarisation du marché autour de quelques acteurs se poursuit)
- Crédit Agricole retire les bénéfices de sa réorganisation (les résultats des banques françaises sont plutôt bons. Elles sont ressorties renforcées de la crise au contraire de nombreux concurrents européens)
- Natixis mis en cause pour sa communication sur la crise de 2007 (les fantômes de la crise ne sont pas totalement dissipés malgré la remise en ordre de la banque)
Asset Management et Banque Privée
- Warren Buffett says Money Managers charge too much (comment justifier des frais aussi élevés quand la plupart des gérants actifs se contentent pour l’essentiel de suivre leur indice de référence ?)
- L’envolée des ETFs s’est poursuivie en 2016 (en lien avec l’article précédent : dans des marchés haussiers, avec peu d’opportunités d’arbitrages entre valeurs, la gestion actif a bien du mal à justifier ses frais)
- Ces 165 produits financiers qui posent problème (Better Finance a tenté d’identifier les fonds actifs qui se contentent de coller à un indice. Analyse intéressante et dérangeante pour certains gérants)
- Look who is crashing the list of the world’s greatest hedge-fund managers (les gérants quantitatifs sont très bien placés dans cette liste. L’époque des gérants géniaux reposant sur leur instinct est-elle révolue ?)
- L’expérience le nouveau luxe (le luxe expérientiel tire la croissance du secteur : vivre un moment unique est le vrai luxe désormais, pas sûr que les banques privées le comprenne encore)
Digital et Fintechs
- Epargne : les clients ouvrent grands leurs bras aux robots (l’automatisation du conseil est plus qu’acceptée, sûrement en réaction d’un conseil souvent de piètre qualité de la part des conseillers clientèle)
- How to train your computer (intéressant retour d’expérience de State Street qui travaille sur l’automatisation du Client Service via la maîtrise du language naturel)
- Fintechs: Dodd Frank repeal might kill your startup (l’assouplissement très net de la réglementation pourrait bloquer le développement d’offre simple et transparente face à des concurrents bancaires pouvant redevenir agressifs commercialement)
- Pourquoi l’innovation actuelle et les robots détruisent des emplois ? (les innovations d’amélioration, florissantes détruisent l’emploi à vitesse grand V quand les innovations de rupture tardent à émerger)
- Banking needs a Customer Experience wake-up call (étude intéressante sur les banques américaines. Des efforts sont faits mais on est encore loin du compte pour créer un service proactif, personnalisé, simplifiant au maximum l’expérience)
Management
- A rant against maximization (rappel salutaire : au lieu d’optimiser au maximum, se « contenter » de créer de bons produits et services pour satisfaire ses clients semble être un objectif bien plus sain)
- Why we choose profit over potential (le profit et l’absence de dettes sont les clés de la liberté. Et se donner comme objectif la profitabilité permet d’éviter les dispersions ruineuses et souvent totalement inefficaces)
- Interruption factories (quand les organisations modernes détruisent la productivité et la qualité de vie au travail à cause de notifications et sollicitations non maîtrisées)